Résumé : "Pour sublimer la nature dans un style poétique et intemporel, laissez-vous guider par une illustratrice éprise de botanique. Nervure tracée à la pointe fine d'un stylo, feuillage ombré d'un lavis subtil à l'encre de Chine, chaque modèle est très simplement expliqué, de l'ébauche jusqu'aux plus fins détails. Cactus, pilea, ficus et autres spécimens sont mis en scène dans des décors délicatement suggérés, où évoluent parfois de gracieux personnages féminins.
Une jungle d'intérieur s'épanouit au fil de l'encre. " Cote : LEF
Résumé : "Journal intime d'un explorateur auquel le virus a coupé les ailes, ce livre original raconte le quotidien insolite de Lorenzo Dotti, peintre naturaliste confiné pendant plusieurs mois en raison de la pandémie de COVID-19. Un périple dans l'infiniment proche raconté à coups de pinceaux et de textes inspirés. Des pinceaux et des mots contre le virus Etabli au coeur de l'un des foyers les plus virulents de la pandémie, le peintre naturaliste Lorenzo Dotti a surmonté le confinement à coups de crayon et en diluant ses émotions à l'aquarelle. Face au désespoir, à la peur et à l'impossibilité de voir ses proches, il a croqué sur le vif pendant 49 jours tout ce qui passait à portée de son pinceau et a raconté son quotidien par des textes touchants, riches en sensibilité et humour. La vue depuis son atelier, un rougequeue sur le toit, son petit-déj, un souvenir, une pensée, son autoportrait... Dans cette redécouverte de l'ultra-proximité, la cafetière italienne devient un personnage à part entière, le chant du merle la plus douce mélodie du monde et le tirebouchon un héros du quotidien. Partagée sur les réseaux sociaux, sa démarche n'est pas restée lettre morte. Elle a fait son chemin en temps record pour être éditée sous la forme de ce bel objet à la finition originale. #Carnet d'un peintre naturaliste confiné n'est pas un simple recueil d'illustrations. C'est un carnet de voyage racontant un périple exotique dans l'infiniment proche, le journal intime d'un prisonnier du quotidien. Un hymne à la vie, à la liberté et à la nature qui est une belle source d'inspiration pour aller de l'avant et vivre cette époque très particulière avec conscience et sérénité." Cote : DOT
Résumé : " Cet ouvrage retrace le rôle multiple et crucial joué par l'illustration d'histoire naturelle depuis le XVIe siècle. Les oeuvres marquantes de grandes figures du domaine - John James Audubon et ses oiseaux, Maria Sibylla Merian et ses insectes - côtoient les planches, moins connues mais tout aussi fascinantes, d'une foule de manuscrits, journaux et livres rares.
Ensemble, leurs créateurs oeuvraient à une collection des merveilles de la nature. Oiseaux, insectes, mammiferes, reptiles et poissons étaient autant de trésors ; des créatures les plus infimes, le microscope faisait des monstres. Savants et mécènes s'enthousiasmaient pour l'exotique, avant de redécouvrir la faune sauvage et domestique de leurs campagnes - jusqu'aux cochons et aux mites. Charlotte Sleigh éclaire l'évolution des enjeux et du style de l'image en histoire naturelle, depuis les alphabets animaliers jusqu'aux extraordinaires créations des naturalistes qui, aux XVIIIe et XIXe siècles, voulurent consigner et classifier le monde vivant.
Elle rend hommage aux peintres et coloristes oubliés qui, aux côtés des artistes les plus fameux, contribuèrent à inventorier, définir et donner à voir la vie animale sur le papier. De cette immense entreprise, elle pointe aussi les contradictions : les naturalistes furent souvent d'avides chasseurs, et c'est par la mort de l'animal que s'ouvrait la vie éternelle du spécimen." Cote : SLE
Résumé : Rarement figuré dans le bestiaire paléolithique, l'ours n'en est pas moins l'un des animaux les plus proches de l'homme, par son physique, son éthologie et sa stature. Au-delà d'un nécessaire inventaire des représentations d'ours de l'art du Paléolithique supérieur, notre recherche s'inscrit dans l'approche naturaliste des animaux figurés dans l'art préhistorique développée au Muséum national d'Histoire naturelle. Dans ce cadre nous avons étudié et analysé près de deux cent représentations dans l'art pariétal et mobilier provenant de toute l'Europe. Nous les avons aussi mises en comparaison avec des représentations de l'animal issues des arts rupestres de l'Holocène (Asie, Europe du Nord, Amérique du Nord). Ce travail a permis de mettre en lumière de grandes convergences, parfois à travers le temps et l'espace. Elles portent notamment sur les « clés d'identification », que nous avons définies. La massivité, la rondeur du corps de l'animal, la forme de sa tête et de ses oreilles permettent de le déterminer. Nous nous sommes également intéressés au réalisme des représentations ainsi qu'à leur contexte thématique, topographique et archéologique. Plus généralement, nous nous sommes interrogés sur la valeur allégorique susceptible d'être portée par l'image. Nous considérons que certaines représentations d'ours ont pu acquérir une portée symbolique importante mais rien en l'état de notre recherche ne permet d'attester d'un rôle cultuel ou culturel particulier de l'ours dans les cultures du Paléolithique supérieur. Cote : MAN
Description : 24 p. - 12 pl. Illustration : Ill. Format : 42 cm Collection : Collection Dominique Villars Notes exemplaire : Exemplaire numéroté hc XIV . Sujets :